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Vaccins : nouvelle alerte

publié le 13/07/2017 - Rédigé par Gary Laski
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La nouvelle est tombée : 11 vaccins seront bientôt rendus obligatoires dès l’âge de 2 ans, suite à l’annonce du premier ministre, Edouard Philippe. Peu importe s’il s’agit de vacciner des enfants encore trop jeunes, et qui risquent de mal réagir. Peu importent les conséquences. Il s’agit surtout d’enrichir les labos.


La bataille des vaccins, toujours recommencée

Ça y est ! Il va falloir vacciner à tout va, et dès le plus jeune âge. La concertation fumeuse que nous avait promise Marisol Touraine n’a naturellement pas eu lieu. Il s’agissait avant tout d’enterrer le dossier, et les questions que la population se pose à propos d’une vaccination de moins en moins sûre, mais toujours plus présente et fructueuse pour les laboratoires pharmaceutiques.

On en viendrait presque à croire que les lobbys pharmaceutiques tiennent une place non négligeable dans la vie politique. Au point qu’à peine les élections législatives terminées, le gouvernement se sent dans l’obligation de renvoyer des ascenseurs.

Vous remettez en question les vaccins ? Alors vous êtes un Amish, un Quaker – pourquoi pas membre d’une secte douteuse ? Après tout, si l’on s’oppose au Progrès tel que le définissent les pouvoirs publics, c’est que nous appartenons au moyen-âge, et nous voilà sommés d’y retourner.

Ou pas. Il y aura une obligation vaccinale sur des enfants qui peuvent mal y réagir. La question du vaccin contre l’hépatite B, liée à l’apparition de scléroses-en-plaque, et présent dans le « cocktail » vaccinal rendu obligatoire par notre nouveau premier ministre, fait tâche.

Comme fait tâche également l’absence d’obligation vaccinale dans d’autres pays, comme la Suède, par exemple, qui n’est pas le moins avancé. 

Vaccins : peu de réponses

La question reste la même. Le vaccin, oui, mais à quel prix ? Nous avons le droit d’être informés des conséquences néfastes que peuvent avoir les vaccins, notamment sur la santé des enfants de deux ans qui sont concernés. Nous avons le droit de connaître les rapports qu’entretiennent les politiques avec les laboratoires pharmaceutiques. Les questions de santé publique doivent être ouvertes, et non plus réservées à une oligarchie intéressée.

L’administration obligatoire des 11 vaccins pose en outre des problèmes : difficultés de fabrication, vaccins qui n’ont pas fini d’être élaborés, du moins sans l’adjuvant controversé qu’est l’aluminium, réaction encore ignorée des enfants en bas âge, dont les systèmes nerveux et immunitaires ne sont pas encore bien formés…

Il y aura un jour un équilibre à trouver entre la vaccination à tout crin, et l’absence de prévention des épidémies. On ne peut faire avec les humains comme on le fait avec les animaux d’élevage, que la surmédication rend sujets à des maladies de plus en plus résistantes.

Cette question mérite d’être posée avec calme et raison. Les citoyens sont prêts pour ce débat, pas les politiques ; ils doivent certainement attendre que l’effondrement de l’école ait rendu la population assez ignare pour pouvoir gouverner sans avoir à rendre de comptes.